Paul Antoine Bien-Aimé le seul candidat au poste de Premier ministre qui a la capacité de prendre des mesures pour lutter contre l’insécurité, selon des organisations

Des organisations de la société civile haïtienne dont l’Association Nationale des Délégués de Villes, l’Association des anciens élus locaux, FENASECH, FENACAH, le Mouvement pour la Souveraineté Nationale, des organisations du secteur évangélique et éducatif, soutiennent la candidature de l’ancien Ministre de l’Intérieur, Dr . Paul Antoine Bien-Aimé au poste de Premier ministre du gouvernement de transition pour résoudre le phénomène d’insécurité en vue d’organiser des élections afin de renouveler le personnel politique.

Selon ces entités, le Dr Paul Antoine Bien-Aimé est un homme intègre, capable de réunir les filles et les fils du peuple autour d’une même table pour qu’ensemble ils trouvent une solution. Ces organisations estiment que son expérience dans l’administration publique est un atout majeur pour restaurer l’autorité de l’État et lutter contre les groupes gangs.

Par ailleurs, ces organisations ont fait savoir que, le choix de M. Paul Antoine Bien-Aimé demeure plus que jamais une nécessité pour restaurer la paix dans une société où le tissu social est déchiré par la violence, la misère et le désespoir.

« Le Docteur Bien-Aimé est un Haïtien de sang qui saura mettre ses connaissances au service du pays, soutiennent les responsables du Mouvement pour la souveraineté nationale » indiquent ces structures.

En ce sens, le Mouvement pour la souveraineté nationale demande aux conseillers présidentiels de prêter attention à la candidature de Paul Antoine Bien-Aimé, considérée comme un atout pour l’apaisement social, la paix et la sécurité, et le retour aux normes constitutionnelles.

Selon ces organisations, parmi les candidats sélectionnés, Monsieur Paul Antoine Bien-Aimé est le seul qui vit en Haïti, qui connaît réellement les difficultés auxquelles le pays est confronté.

Ce dernier a la capacité de prendre des mesures pour lutter contre le phénomène d’insécurité, dans la perspective du retour à l’unité. Il est capable de mobiliser toutes les forces vives de la nation pour assurer le contrôle du territoire national.