Trafic d’organes : une maison truffée de cadavres découverte à Pétion-Ville par la DCPJ – un réseau de trafic d’organes démantelé
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Trafic d’organes : une maison truffée de cadavres découverte à Pétion-Ville par la DCPJ – un réseau de trafic d’organes démantelé
Par notre rédaction
Pétion-Ville, mercredi 21 mai 2025 – C’est une opération de choc, un véritable coup de tonnerre dans le ciel déjà sombre de la capitale haïtienne. Ce matin, la Direction Centrale de la Police Judiciaire (DCPJ), épaulée par les unités d’élite BLTS, BLVV, USGPN et l’USI-BAC, a mené une opération fulgurante sur la route de Frères, non loin de l’Académie Nationale de Police. Ce qui semblait être une simple descente policière s’est rapidement transformé en un cauchemar éveillé : une maison a été découverte, transformée en abattoir humain, avec plusieurs cadavres en décomposition et du matériel médical sophistiqué.
Selon nos informations exclusives, les forces de l’ordre ont investi un bâtiment isolé, visiblement utilisé comme base clandestine pour le prélèvement d’organes humains. Le spectacle qui s’est présenté aux enquêteurs dépasse l’imagination : des sacs contenant des restes humains, des tables d’opération tachées de sang, et des outils chirurgicaux à l’aspect sinistre. Des sources au sein de la DCPJ parlent d’un véritable « laboratoire de la mort », servant un réseau mafieux de trafic d’organes à l’échelle régionale.
Bien avant cette intervention policière, le journaliste engagé Djovany Michel avait publiquement dénoncé, avec courage et détermination, l’existence d’un réseau de trafic d’organes opérant dans l’ombre en Haïti. Dans plusieurs publications et enquêtes diffusées sur ses plateformes, il avait alerté l’opinion publique et les autorités sur cette industrie macabre, révélant des détails troublants que beaucoup refusaient d’entendre. Sa voix, longtemps ignorée ou minimisée, résonne aujourd’hui comme un avertissement prophétique.
Au cours de cette intervention musclée, un individu a été arrêté. Il est actuellement en garde à vue et serait un rouage central dans cette entreprise macabre. Nos sources indiquent qu’il aurait avoué avoir servi d’intermédiaire entre les « fournisseurs » et des acheteurs étrangers prêts à payer des fortunes pour des organes humains.
La présence du maire de Pétion-Ville, M. Kesner NORMIL, sur les lieux a renforcé la gravité de la situation. Visiblement bouleversé, il a déclaré à la presse : « Ce que nous découvrons ici dépasse l’entendement. C’est un crime contre l’humanité. » Un périmètre de sécurité a été érigé, et l’enquête s’annonce déjà comme l’une des plus importantes de ces dernières années.
L’opération, toujours en cours à l’heure où nous écrivons ces lignes, pourrait dévoiler l’ampleur d’un réseau transnational d’une rare cruauté. Des connexions internationales sont actuellement explorées par la DCPJ, qui travaille en collaboration avec Interpol et d’autres agences étrangères pour identifier les ramifications de cette mafia invisible.
Ce coup de filet spectaculaire envoie un message sans équivoque : la lutte contre le crime organisé est loin d’être terminée, et la DCPJ entend frapper fort. Mais il soulève aussi de profondes inquiétudes : combien d’autres « maisons de l’horreur » échappent encore aux radars des autorités ? Combien de vies sacrifiées dans l’ombre d’un commerce monstrueux ?
L’enquête ne fait que commencer, mais déjà, les échos de cette affaire résonnent comme un cri de révolte dans un pays en quête de justice et de vérité — une vérité que certains, comme Djovany Michel, ont osé affronter bien avant qu’elle n’éclate au grand jour.
À suivre…
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