Haiti-Éducation: Réouverture des classes, deux mois après, aucune mesure n’a été prise pour reloger les familles qui occupent les établissements scolaires déplore l’ASPAEDH
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Haiti-Éducation: Réouverture des classes, deux mois après, aucune mesure n’a été prise pour reloger les familles qui occupent les établissements scolaires déplore l’ASPAEDH
L’Association des parents-éleves haïtiens « ASPAEDH » se dite préoccupée et surprise dans une note de presse, de voir 2 mois après l’ouverture officielle de l’école pour l’année scolaire 2023-2024, plusieurs milliers d’élèves des écoles publiques de Port-au-Prince restent toujours chez eux. Aucune mesure n’a été prise pour reloger les quelques milliers de familles qui occupent les établissements scolaires en raison de la violence des gangs qui se trouvent dans certains quartiers.
Selon la note, l’ASPAEDH et d’autres syndicats ont lancé un appel aux dirigeants pour qu’ils les relocalise pendant qu’ils résolvent le problème de l’insécurité dans lesdits quartiers. Les responsables gouvernementaux prouvent ainsi leur imprudence ou leur incapacité à résoudre le problème.
Pendant ce temps les enfants continuent de ne pas pouvoir aller à l’école, il y a un premier examen, qui a été déjà organisé selon le calendrier scolaire les responsables du gouvernement montrent que la question de la scolarisation des enfants ne les intéresse pas.
Par ailleurs, l’ASPAEDH a pris connaissance d’un communiqué du ministère de l’Éducation nationale et de la Formation professionnelle qui indique que les écoles publiques de Port-au-Prince qui n’ont pas ouvert leurs portes fonctionneront en novembre, selon le journal Le Nouvelliste, plusieurs responsables de ces écoles ont déclaré que personne au sein du gouvernement ne les avait contactés.
En ce sens,, l’association des parents d’élèves d’Haïti dénonce une série d’organisations non gouvernementales d’ONG, qui soutiennent les déplacés avec de l’argent et de la nourriture, l’ASPAEDH reconnaît que les victimes ont besoin d’aide et assistance, ce pendant nous constatons que il y en a parmi eux qui passent leur temps chez eux et reviennent dormir dans les refuges chaque nuit. sous prétexte d’obtenir de l’argent de l’État et des ONG pour aller habiter dans une autre maison, nous dénonçons cela, termine la note.