Miragoâne nettoyée par la poigne de fer du Commissaire Muscadin : 4 bandits neutralisés
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La criminalité continue de reculer à Miragoâne grâce à l’action déterminée du Commissaire du Gouvernement, Jean Ernest Muscadin. Le vendredi 2 mai 2025, quatre individus lourdement soupçonnés d’activités criminelles ont été abattus lors d’une opération chirurgicale menée sous sa direction. Le message est clair : la loi reprend ses droits.
Miragoâne reprend son souffle. En ce vendredi 2 mai 2025, les habitants ont assisté à une nouvelle démonstration de fermeté de la part du Commissaire du Gouvernement, Jean Ernest Muscadin, figure de proue dans la lutte contre l’insécurité dans la région des Nippes. Quatre individus, connus des services de police pour leur implication présumée dans des actes criminels, ont été abattus dans différents quartiers de la commune.
Selon des sources concordantes, les interventions ont eu lieu dans les zones de Morne Moussignac, Challon, Savane Roche et à proximité de Calebassier. Sur place, les riverains parlent d’une opération rapide et précise, menée avec professionnalisme. « Depuis que Muscadin est là. Il fait ce que d’autres n’ont jamais osé faire », confie un résident de Challon.
Les victimes, selon les informations disponibles, appartenaient à des réseaux qui terrorisaient la population locale. Aucune arrestation n’était possible, affirment nos sources : ces individus auraient tenté de résister violemment à l’intervention des autorités.
Sur une vidéo circulant sur les réseaux, on aperçoit le Commissaire Muscadin, l’air concentré, entouré de ses gardes du corps. Casque sur la tête et gilet fluorescent sur les épaules, il incarne l’image d’un homme d’action, déterminé à reconstruire autant la sécurité que l’État de droit.
Bien que certaines voix critiques s’élèvent, notamment de la part d’organismes internationaux, une large partie de la population de Miragoâne continue d’apporter un soutien massif au Commissaire, considéré comme un « bouclier contre le chaos ». Pour plusieurs habitants, ses méthodes, bien que rigoureuses, restent une réponse adaptée à une criminalité devenue incontrôlable.
À Miragoâne, la loi n’est plus une illusion, elle se fait entendre… par les armes si nécessaire.
La rédaction
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