Haïti en péril : l’échec accablant d’Alix Didier Fils-Aimé et de la Mission Multinationale de Sécurité
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Haïti en péril : l’échec accablant d’Alix Didier Fils-Aimé et de la Mission Multinationale de Sécurité
Trois mois d’enfer. Trois mois de carnage. Trois mois de terreur absolue. Voilà ce qu’Alix Didier Fils-Aimé a offert au peuple haïtien depuis son arrivée à la Primature. Ce personnage, insignifiant et incompétent, s’est autoproclamé homme providentiel, promettant monts et merveilles. Résultat ? Haïti est plus que jamais aux mains des gangs, l’État a totalement disparu, et les Haïtiens vivent dans une prison à ciel ouvert.
Lors de son investiture, M. Fils-Aimé, dans un délire de grandeur, avait proclamé :
« Nous allons apporter une réponse globale à l’insécurité. Ensemble, nous permettrons au pays d’avoir des autorités légitimes capables de prendre des décisions. »
Quelle farce ! Quelle arrogance ! Il n’a apporté aucune réponse à l’insécurité. Pire, il l’a exacerbée. Les gangs contrôlent 85 % de Port-au-Prince, et chaque jour, de nouveaux quartiers tombent sous leur joug. Des familles entières sont exécutées dans l’indifférence totale d’un gouvernement fantôme, dirigé par un fantoche incapable de prendre la moindre décision.
Et que dire de la fameuse Mission Multinationale d’Appui à la Sécurité (MMAS), ce ramassis d’incapables censé rétablir l’ordre ? Des policiers étrangers sont arrivés, lourdement armés, dotés de matériels sophistiqués. Pourtant, les gangs sont plus puissants que jamais. À quoi sert cette mission ? À qui profite-t-elle ? Pendant que des contingents kenyans et jamaïcains patrouillent sans objectif clair, les criminels continuent de violer, tuer et brûler vifs des innocents.
Le drame qui s’est déroulé récemment à Kenscoff glace le sang. Un nourrisson de quelques mois, arraché des bras de sa mère en pleurs, brûlé vif sous les yeux d’une foule impuissante. La mère, submergée par le chagrin et l’horreur, est morte de douleur.
Dans n’importe quel pays civilisé, un tel crime aurait provoqué un séisme politique. Mais en Haïti, sous le règne de Fils-Aimé, c’est devenu la norme. Il ne dit rien, il ne fait rien. Il se cache, comme le lâche qu’il est, pendant que son peuple se fait massacrer. Quel genre d’homme peut tolérer cela ? Quel genre de dirigeant accepte un tel carnage sans réagir ?
Alix Didier Fils-Aimé n’a aucune légitimité. C’est un imposteur. Un incompétent notoire. Un cancre incapable de gouverner. Haïti est au bord de l’effondrement, et cet homme ose encore rester en poste ? Il n’a ni vision, ni courage, ni l’ombre d’un leadership. Chaque jour qu’il passe à la tête du pays est un jour de plus où Haïti s’enfonce dans l’abîme.
Il est temps que le peuple haïtien se réveille. Il est temps de mettre un terme à cette mascarade. Alix Didier Fils-Aimé doit partir, et vite. Avant qu’il ne soit trop tard. Avant que ce pays ne disparaisse totalement sous les balles et les flammes des criminels qu’il n’a jamais eu le courage d’affronter.
La rédaction.
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