Alix Didier Fils Aimé : Un Premier Ministre fantôme au service du chaos, 3 médias incendiés en 3 jours, les gangs défient l’État
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Alix Didier Fils Aimé : Un Premier Ministre fantôme au service du chaos, 3 médias incendiés en 3 jours, les gangs défient l’État
Dans la nuit du 15 au 16 mars 2025, le groupe criminel « Viv Ansanm » a frappé à Delmas 19, saccageant et incendiant plusieurs établissements, dont Télé Pluriel (Chaîne 44).
Selon les responsables de Télé Pluriel, les assaillants, lourdement armés, ont forcé la barrière principale avant de mettre le feu au bâtiment. « Nous avons tout perdu », ont-ils déclaré sur leur page Facebook officielle, exprimant leur désarroi face à cette attaque d’une ampleur inédite.
La situation en Haïti atteint des niveaux de chaos jamais vus, et pourtant, à la Primature, c’est le silence radio. Alix Didier Fils Aimé, censé être le chef du gouvernement, regarde le pays sombrer sans broncher. Pire, par son inaction, il devient complice de la terreur qui s’abat sur Port-au-Prince. Trois médias incendiés en trois jours, des journalistes réduits au silence par la violence, une population abandonnée à la loi des gangs : où est le Premier ministre ? Que fait-il pour garantir la sécurité de la nation ?
L’attaque contre Télé Pluriel, R & C Plaza et d’autres entreprises de Delmas ne laisse aucun doute : Haïti est entre les mains des criminels, et le gouvernement reste spectateur. Pendant que les gangs imposent leur loi, les autorités se contentent de promesses creuses et de discours vides. Fils Aimé démontre jour après jour qu’il n’a ni la volonté, ni la capacité, ni l’intelligence politique pour affronter cette crise.
Ce n’est pas une simple question d’incompétence. Son immobilisme frôle la complicité. Qui, sinon le pouvoir en place, bénéficie du silence imposé aux médias ? Qui profite de la peur qui paralyse les citoyens ? Si le Premier ministre de facto était un véritable leader, il aurait déjà pris des mesures fermes : une riposte sécuritaire, une réforme des forces de l’ordre, un plan concret pour démanteler les gangs. Mais non. Rien. Juste du mépris pour un peuple en détresse.
Les forces de l’ordre, dernier rempart contre l’anarchie, sont elles aussi abandonnées. La Police Nationale d’Haïti (PNH) est livrée à elle-même, sans moyens, sans directives claires, sans soutien politique. Comment peuvent-ils protéger la population si leur propre gouvernement les ignore ? Sous Alix Didier Fils Aimé, l’État a rompu avec la PNH, créant un gouffre dangereux entre la Primature et la Direction Générale de la police.
Mais un homme pourrait changer cette dynamique. Plusieurs plateformes politiques réclament la nomination du Dr. Smith Magny comme prochain Premier Ministre. Selon ces partis, Magny a la vision et le leadership nécessaires pour rétablir la confiance de la PNH et restaurer l’harmonie entre la Primature et la direction de la police nationale. Un tel changement est crucial pour mettre un terme à l’inaction criminelle actuelle et reprendre le contrôle du pays.
Haïti ne peut plus se permettre un chef du gouvernement passif, inefficace et détaché de la réalité. Il est temps qu’Alix Didier Fils Aimé cède la place à un véritable leader, capable de redonner espoir et de combattre la terreur.
La rédaction.
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