Tentative d’assassinat contre un policier à Carrefour : Jean-Pierre Michot échappe de justesse à un groupe armé
Le 6 février 2024, la ville de Carrefour a été le théâtre d’une tentative d’assassinat contre Jean-Pierre Michot, agent de police de la 21e promotion et affecté au service circulation de la commune. Cet incident tragique met en lumière les dangers croissants auxquels sont confrontés les policiers dans cette région, de plus en plus dominée par des bandes armées.
Jean-Pierre Michot, domicilié à Thor 69, a miraculeusement échappé à une attaque menée par un groupe de bandits armés, présumés appartenir au groupe criminel « Kris la », d’après les informations préliminaires de la police. Ces individus, après l’avoir ciblé, ont tenté de lui porter un coup fatal. Grâce à son sang-froid et à ses réflexes, il a réussi à fuir et se mettre à l’abri avant d’alerter ses collègues.
Suite à cette tentative d’assassinat, Jean-Pierre Michot a déposé une plainte officielle, relatant l’attaque violente qu’il a subie. Dans sa déclaration, il a mentionné que les assaillants étaient liés à un groupe de criminels violents, qu’il soupçonnait de vouloir venger une précédente intervention policière. La plainte fait état des menaces de mort, des intimidations et du harcèlement que lui auraient infligés ces individus armés dans les semaines précédant l’attaque.
Interrogé par notre rédaction, le policier Jean-Pierre Michot a partagé son vécu après cette expérience traumatisante. « C’était une situation de tension extrême. Ils étaient armés et déterminés à en finir avec moi. Je n’ai eu d’autre choix que de fuir pour ma vie. J’ai toujours su que le métier de policier comportait des risques, mais jamais je n’aurais imaginé une attaque aussi directe et violente. Je remercie Dieu d’avoir pu m’en sortir », a-t-il expliqué.
L’attaque, attribuée à un groupe de bandits affiliés à « Kris la », un gang de plus en plus actif dans la région, a mis en lumière la montée inquiétante de la violence armée à Carrefour. Cette affaire suscite une vive inquiétude parmi les autorités locales et la communauté policière, qui appellent à une réponse plus ferme face à cette situation de plus en plus complexe.
La rédaction.
