MAST : Un ministre voleur de dignité ! Georges Wilbert Franck cloué au pilori par ses employés
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MAST : Un ministre voleur de dignité ! Georges Wilbert Franck cloué au pilori par ses employés
Port-au-Prince – Au Ministère des Affaires Sociales et du Travail (MAST), la coupe est pleine, le ras-le-bol est total. Georges Wilbert Franck, ministre de façade et gestionnaire de l’ombre, est aujourd’hui la honte incarnée d’une institution publique censée défendre les droits des travailleurs.
Des employés, humiliés, oubliés, trahis depuis des décennies, ont brisé le silence. Sous couvert d’anonymat, ils ont confié à Goutte d’eau Média une vérité accablante : ce ministre ne vaut pas le fauteuil qu’il occupe. Pendant que des agents loyaux trimballent leur misère depuis 25 à 30 ans sans jamais avoir été nommés, lui s’empresse de caser ses amis, ses petits protégés, ses “ti malpropres” dans des postes officiels, sans scrupule, sans honte, sans le moindre respect pour le mérite.
“C’est un voleur de dignité, un abuseur de pouvoir”, lâche l’un d’eux. “Ce monsieur se fout de nous royalement. Nous sommes des chiens pour lui.”
Et pour couronner l’ignominie, le ministre ne met presque jamais les pieds au MAST ! Selon les témoignages, il a déménagé son bureau au FAES, transformant le ministère en un navire à la dérive, sans capitaine ni conscience. “Un chef qui fuit ses responsabilités, c’est un lâche, pas un leader”, lance un autre employé en colère.
Le soulèvement actuel vise également Frantz Toyo, directeur des ressources humaines, et Hugo Poncelet, administrateur du ministère, deux autres pièces maîtresses d’un système corrompu jusqu’à la moelle, selon les protestataires.
Ils exigent avec force :
La nomination immédiate des employés méritants oubliés depuis trop longtemps
Le paiement de trois mois de salaires bloqués
Et surtout, la tête du ministre : qu’il soit révoqué, démis, chassé, balayé !
“Qu’il parte avec ses valises de mensonges ! Ce n’est pas un ministre, c’est un parasite”, tonne une voix anonyme. “Il est la gangrène du MAST. Il faut l’arracher avant que tout le corps ne pourrisse.”
Jamais le personnel du MAST n’a été aussi révolté, aussi blessé, aussi prêt à en découdre. Le silence méprisant de Georges Wilbert Franck ne fait qu’attiser la flamme. Il pensait peut-être gouverner dans l’impunité, mais la révolte des oubliés vient de sonner son glas.
Le peuple observe. Les employés parlent. Le masque tombe. Et ce qu’on découvre derrière, c’est la face hideuse d’un pouvoir corrompu, injuste et méprisant.
La rédaction.
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